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JASSEM PLANET
origine des maths

 
 
hisoire des mathématiques  
 
 
"Mathématiques" vient du grec « ta mathémata » qui signifie « ce qui peut être appris ». On situe habituellement la naissance de la démonstration mathématique en Grèce antique, bien qu'on sache que le calcul numérique et des algorithmes de résolution d'équations étaient connus des Babyloniens et que la géométrie et les fractions était déjà pratiquées par les Égyptiens.  
 
Les mathématiques arabo-musulmanes ont poursuivi les traditions grecques (pour la géométrie), babyloniennes (pour l'algèbre) et indiennes (pour la numération).  
 
Depuis la fin du Moyen Âge, les mathématiques occidentales ont fait la synthèse des traditions précédentes, avec tout de même jusqu'au XIXe siècle une prédominance d'Euclide.  
 
Un peu à part, car la démonstration à la grecque n'y existe pas (avec cependant une vérification et une amélioration poussées des algorithmes), les mathématiques chinoises étaient spécialisées dans les algorithmes de résolution approchée d'équations de n'importe quel degré (c'est-à-dire trouver une solution) ainsi que dans les systèmes d'équations et la géométrie.  
 
 
 
 
 
Les mathématiques peuvent être définies de plusieurs façons, complémentaires :  
 
la science des nombres et de l’espace  
la science des formes de déduction  
la science des structures, des modèles ou de tous les mondes possibles  
 
 
L’origine historique des mathématiques est liée à leurs applications concrètes, le commerce, la mesure des surfaces, la prédiction des évènements astronomiques.  
 
L'adjectif mathématique qualifie tout objet, concept ou terme relatif aux mathématiques. Dans ce sens il s'accorde au mot auquel il est associé, contrairement au terme qui désigne la science des mathématiques, qui est le plus souvent employé au pluriel. La Mathématique, au singulier, n'est plus guère usité que de manière didactique.  
 
L'expression "c'est mathématique" signifie qu'il existe une logique interne et inéluctable propre à l'évènement ou à la série d'évènements ainsi commentée.  
 
!!!! Sommaire !!!!  
1 Définitions des mathématiques  
 
1.1 La science des nombres et de l’espace  
1.2 La science des formes de déduction  
1.3 La science de tous les mondes possibles  
 
 
2 La logique et les théories des ensembles  
 
3 L’arithmétique et les mathématiques discrètes  
 
4 Les géométries  
 
5 L’algèbre  
 
6 L’analyse et la topologie  
 
7 La théorie des probabilités  
 
8 Mathématiques appliquées  
 
9 Mathématiques récréatives  
 
10 Mathématiques élémentaires (non universitaires)  
 
 
 
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La science des nombres et de l’espace  
L'étude des mathématiques commence avec les nombres, tout d'abord avec les nombres naturels et les nombres entiers. Les règles gouvernant les opérations usuelles sur les nombres (addition, multiplication, soustraction, division) font partie de l'arithmétique élémentaire. L'algèbre élémentaire est fondée sur l'abstraction de ces règles. L'étude des surfaces simples (polygones, cercles,...) forme la géométrie élémentaire.  
 
Les mathématiques contemporaines ne se contentent pas de ces objets classiques que sont les nombres, entiers ou réels, et l’espace euclidien. De nouveaux types de nombres, d’espaces et d’êtres abstraits sont apparus.  
 
 
La science des formes de déduction  
Une déduction consiste à partir de prémisses pour arriver à une conclusion en procédant par des étapes logiques. On peut dire que toutes les sciences sont mathématiques, même l’histoire, au sens où elles font toutes des déductions, et parce qu’une déduction a toujours quelque chose de mathématique, pourvu qu’elle soit juste.  
 
Cependant, en mathématiques, l’étude de la forme du raisonnement, indépendamment de ses objets, a une importance cruciale. Montrons-le sur un exemple.  
 
Les mêmes axiomes, ceux des espaces vectoriels, peuvent être utilisés à la fois pour étudier des espaces géométriques, l’espace euclidien par exemple et pour étudier l’ensemble des solutions d’une équation différentielle linéaire. Les théorèmes sur les espaces vectoriels sont donc valables à la fois pour la géométrie euclidienne et pour les équations différentielles linéaires. On peut considérer que la théorie abstraite des espaces vectoriels consiste à étudier toutes les déductions qui partent des mêmes axiomes, indépendamment des objets auxquels ils sont appliqués. On étudie alors les formes de déduction et non les objets auxquels ces formes sont appliquées.  
 
Cette définition convient bien aux mathématiques appliquées. De nombreuses théories abstraites (les nombres entiers et réels, les fonctions réelles de variable(s) réelle(s) et les équations différentielles, les espaces vectoriels, les groupes, la théorie des probabilités, ...) ont une utilité générale pour toutes les sciences, parce qu’elles peuvent être appliquées à de nombreux objets. Le travail des mathématiques appliquées consiste à développer des théories, dont la valeur est universelle, en vue d’aider les autres sciences dans leurs recherches des conséquences.  
 
 
La science de tous les mondes possibles  
Pour un mathématicien rien n’est impossible sauf ce qui est contradictoire. Par là on veut dire qu’un discours non-contradictoire est à propos d’un monde concevable, imaginable, idéal. Les mondes possibles sont parfois appelés des structures, lorsqu’ils sont très abstraits, ou des modèles.  
 
De ce point de vue, la mathématique est la théorie de tout ce qu’on peut imaginer.  
 
On croit souvent à tort que la connaissance de tous les possibles est une ambition démesurée et irréalisable mais elle ne l’est pas. Elle est à notre portée. Il est même très facile de connaître des vérités universelles, valables pour tous les possibles, le principe du tiers-exclu par exemple. Tout énoncé sur un monde possible y est ou bien vrai, ou bien faux. Ce n’est pas forcément très intéressant mais c’est un début.  
 
Le travail des mathématiques pures consiste à augmenter notre capacité à connaître tous les possibles. Il se trouve qu’il y a des théories particulières (les nombres, les groupes, ...) qui jouent un rôle privilégié dans cette connaissance, et qu’elles sont souvent, mais pas toujours, les mêmes que celles qui intéressent les mathématiques appliquées. C’est pourquoi les structures étudiées ont souvent leur origine dans les sciences naturelles, plus communément en physique. Toutefois, un grand nombre de structures sont purement internes aux mathématiques, unifiant différents champs d'application ou étant des outils aidant aux calculs.  
 
 
La logique et les théories des ensembles  
La logique énonce les règles, ou principes, qu’il faut respecter pour faire des déductions correctes.  
 
Les théories des ensembles sont des théories très générales qui permettent de formuler et de prouver toutes les connaissances mathématiques.  
 
Fondation des mathématiques  
Logique  
 
Logique  
Calcul propositionnel  
Calcul des prédicats  
Déduction naturelle  
Logiques modales  
Théorie des modèles  
Incomplétude  
Théories des ensembles  
 
Théorie des ensembles  
Axiomes de Zermelo-Fränkel  
Théorie des catégories  
 
L’arithmétique et les mathématiques discrètes  
Arithmétique  
 
Théorie des nombres  
Congruences  
Divisibilité  
PGCD  
PPCM  
Théorème de d'Alembert-Gauss  
Identité de Bézout  
Petit théorème de Fermat  
Équations diophantiennes  
Cohérence des axiomes de l'arithmétique formelle  
Cryptologie  
Fonctions L  
Dernier théorème de Fermat  
Mathématiques discrètes  
 
Mathématiques discrètes  
Théorie des graphes  
 
Les géométries  
Géométrie  
Coupe pentagonale de la pyramide à base carrée  
Géométrie euclidienne  
Géométries non euclidiennes  
Écrire les figures de la géométrie  
Géométrie projective  
Géométrie différentielle  
Géométrie algébrique  
Géométrie non commutative  
Courbe plane  
Orientation  
Anamorphose  
Trigonométrie  
 
Trigonométrie classique et formules  
Trigonométrie sphérique  
 
 
L’algèbre  
Algèbre  
Structure algébrique  
Algèbre élémentaire  
Algèbre abstraite  
Théorie des catégories  
Théorie des groupes  
Algèbre linéaire  
Algèbre multilinéaire  
Théorie de la représentation  
L’analyse et la topologie  
Analyse  
 
Analyse  
Suites  
Séries  
Analyse réelle  
Nombres complexes, Analyse complexe  
Analyse fonctionnelle  
Algèbre des opérateurs  
Analyse p-adique  
Analyse rigide  
Équations différentielles  
Équations aux dérivées partielles  
Analyse non standard  
Analyse vectorielle  
Intégrale de Lebesgue  
Intégrale de Riemann  
Développement limité  
Topologie  
 
Topologie  
Espaces topologiques  
Espaces métriques  
Topologie algébrique  
Théorie des nœuds  
Théorie des tresses  
K-théorie  
La théorie des probabilités  
Probabilités  
Statistiques  
 
 
Mathématiques appliquées  
Les domaines des mathématiques appliquées utilisent la connaissance des mathématiques à fin de résolution des problèmes du monde réel.  
 
Recherche opérationnelle  
Optimisation  
Probabilité  
Statistiques  
Mathématiques financières  
Mathématiques commerciales  
Mathématiques récréatives  
Mathématiques récréatives  
 
 
Mathématiques élémentaires (non universitaires)  
Mathématiques élémentaires  
Algèbre élémentaire  
Analyse élémentaire  
Arithmétique élémentaire  
Géométrie élémentaire  
Aire de surfaces usuelles  
Solides usuels  
Volume de solides usuels  
Logique élémentaire  
Probabilité élémentaire  
Statistique élémentaire  
Techniques de calcul  
 
Techniques de calcul mental  
Règle à calcul  
Boulier  
Liste des articles de technique de calcul  
Critère de divisibilité  
 
 
 
 
 
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TYPES de Nombres  
 
DEUX races principales dans le monde des nombres (nombres réels) On connaît les nombres pour compter dans la vie de tous les jours  
 
1 2 3 4 5 …  
Il y a aussi ceux qui ont une virgule et des chiffres derrière  
 
1,25 3,14 0,222  
 
 
TROIS types de nombres à virgule (nombres décimaux)  
 
Il a ceux qui sont simples et gentils: Le nombre de chiffres derrière la virgule est fixe; ils correspondent à une découpe en parts (rations) simples, à une fraction simple.  
 
0,5 = 1/2  
 
0,25 = 1/4  
 
Il a ceux plus facétieux qui jouent à ne jamais s'arrêter de répéter leurs chiffres; ils correspondent à des fractions plus compliquées.  
 
1 / 3 = 0, 333333 ….  
 
1 / 7 = 0,142857 142857 14 …  
 
Il y a ceux qui ont un grain de folie. Les chiffres après la virgule semblent provenir du pur hasard.  
 
1,414 213 562 373 095 … = v2  
 
DEUX sortes de nombres un peu fous (nombres irrationnels)  
 
 
 
Il y a les compréhensifs qui se laissent faire. Une formule simple (équation) les décrit.  
 
x² = 2  
 
Qui donne: x = v 2 = 1,414 213 562 373 095 …  
 
Les pires sont ceux refusent de se laisser discipliner: aucune équation à coefficients entiers ne peut les définir. Ce sont les transcendants.  
 
3,141 592 653 589 793 … = p  
 
Note:  
 
On peut trouver des transcendants avec une répartition régulière de leurs chiffres. C'est le cas du premier transcendant inventé par Liouville:  
 
0,10 100 1000 10000 100000 ....  
 
Bilan  
 
2  
= 2,00  
ENTIER  
 
1/2  
= 0,5  
Fractionnaire ou RATIONNEL  
 
1/3  
= 0,333333…  
Fractionnaire périodique répétitif  
 
1/7  
= 0,285714 285714 …  
Fractionnaire périodique de période 6  
 
v 2  
= 1,414 213 562 373 095 …  
Non fractionnaire ou IRRATIONNEL  
Il existe une égalité pour le définir: x² = 2  
 
p  
= 3,141 592 653 589 793 …  
Non fractionnaire, donc irrationnel  
mais il n'existe pas d'égalité simple pour le définir,  
il est TRANSCENDANT  
 
Il existe une infinité de nombres  
Ils sont aussi très variés :  
 
Naturel  
Natural numbers  
1, 2, 3 …  
 
Entier  
Whole numbers  
Naturel avec le 0  
 
Relatif  
Integer  
Entiers et négatifs  
 
Rationnel  
Rational  
Fractions  
 
Irrationnel  
Irrational  
Comme v 2 ou le nombre d’or  
 
Transcendant  
Transcendental  
Comme pi et e, racine d’aucun polynôme  
 
Réel  
Real  
Tous ceux cités ci-dessus  
 
Imaginaire  
Imaginary  
Réel multiplié par i = v -1  
 
Complexe  
Complex  
Somme d’un réel et d’un imaginaire  
 
Transfini  
Transfinite  
Au delà de l’infini  
 
Surréel  
Surreal  
Nombres situés entre les infinis  
 
Les nombres entiers  
 
Les nombres les plus simples sont  
 
les nombres naturels, 1, 2, 3,…,  
 
également appelés "nombres entiers"  
 
"entiers positifs"  
 
"entiers rationnels positifs"  
 
ou  
 
"nombres cardinaux"  
 
Curiosité  
 
N = n5 / 5 n3 / 3 7n / 15  
 
= Nombre entier  
 
C'est tout simplement que  
 
3n5 5n3 7n est divisible par 15  
 
Curiosité  
 
epi v 163 = entier ?  
 
 
Opérations sur les entiers: Nombres rationnels  
 
Entier Entier =  
Entier  
 
Entier - Entier =  
Entier positif ou négatif  
 
Entier x Entier =  
Entier  
 
Entier / Entier =  
Fraction  
 
Fraction - Fraction =  
Fraction positive ou négative  
 
Entier - ce même Entier =  
0  
 
Bilan  
 
Opérations sur les Entiers =  
 
 
Nombres RATIONNELS  
 
Les entiers et les fractions  
 
positifs et négatifs  
 
composent,  
 
avec le nombre 0,  
 
l'ensemble des nombres rationnels  
 
 
Le quotient de la circonférence d'un cercle par son diamètre n'est pas un nombre rationnel : constante pi  
La longueur de la diagonale d'un carré ne peut pas être exprimée par un nombre rationnel : constante v 2  
  
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Modifié en dernier lieu le 18.04.2005
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